Le château de ma mère 1: l'imparfait - passé simple

  
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Un matin, vers neuf heures, je légèrement sur le plateau qui domine le Puits du Mûrier.
Au fond du vallon, l'oncle à l'affût dans un grand lierre, et mon père se derrière un rideau de clématites, sous une yeuse, à flanc de coteau.
Cependant, je consciencieusement mon métier de chien lorsque je , au bord de la barre, une sorte stèle, faite de cinq ou six grosses pierres entassées par la main de l'homme. Je , et je vis, au pied de la stèle, un oiseau mort. Son cou était serré entre les deux arceaux de laiton d'un piège à ressort.
L'oiseau était plus gros qu'une grive, il avait un joli plumet sur la tête Je me pour le ramasser, lorsqu'une voix fraîche cria derrière moi :
"Hé ! l'ami ! "
Je un garçon de mon âge, qui me sévèrement
"Il ne faut pas toucher les pièges des autres, dit-il. Un piège, c'est sacré ! "
- Je n'allais pas le prendre, dis-je. Je voulais voir l'oiseau.
Il : c'était un petit paysan. Il était brun, avec un fin visage provençal, des yeux noirs, et de longs cils de fille. Il , sous un vieux gilet de laine grise, une chemise brune à manches longues qu'il avait roulées jusqu'au-dessus des coudes, une culotte courte, et des espadrilles de corde comme les miennes, mais il n'avait pas de chaussettes.
"Quand on trouve un gibier dans un piège, dit-il, on a le droit de le prendre, mais il faut retendre le piège, et le remettre à sa place."

Il dégagea l'oiseau, et dit :
C'est une bédouïde."
Il le dans sa musette, et dans la poche de son gilet un tube de roseau que un bouchon mal taillé; puis, il en fit couler dans sa main gauche une grosse fourmi ailée.
Je :
"Où c'est que tu prends ces fourmis ! "
- Ça, dit-il, c'est des "aludes". Il y en a dans toutes les fourmilières, mais elles ne sortent jamais. Il faut creuser plus d'un mètre avec une pioche : ou alors, il faut attendre la première pluie du mois de septembre. Dès que le soleil revient, elles s'envolent d'un seul coup. En mettant un sac mouillé sur le trou. C’est facile."
Il avait retendu le piège. et il le au pied de la stèle.
Très vivement intéressé, je l'opération, et j'en tous les détails. Il se enfin, et me demanda :
"Qui tu es ? "
Pour me donner confiance, il :
"Moi, je suis Lili, des Bellons."
- Moi aussi, dis-je, je suis des Bellons."
Il se mit à rire :
- Oh ! que non, tu n'es pas des Bellons ! Tu es de la ville. C'est pas toi, Marcel !
- Oui, dis-je, flatté. Tu me connais ?